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"Cinéma, mon amour !"

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amblin01

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Mon blog entièrement consacré au cinéma, tout les films que je vois sont ici, ça va des chefs d'oeuvres aux bouses universelles, des Etats-Unis en passant par l'Italie, l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni, le Japon, la Corée du sud, la Chine, l'Espagne, la Russie, l'ex-Yougoslavie, la Belgique et bien d'autres, bref le cinéma du monde quoi !

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Quentin Tarantino

Quentin Tarantino, né en 1963 à Knoxville (Tennessee), doit son prénom au personnage de Quint, le forgeron métisse interprété par Burt Reynolds dans la série western Gunsmoke. Il a deux ans lorsque sa mère, célibataire, s'installe avec lui dans la région de South Bay, au sud de Los Angeles, où il passera les deux décennies suivantes.

Dans son quartier pluriethnique de Torrance, le jeune Tarantino est exposé à une multiplicité de cultures populaires et s'imprègne des styles de cinéma les plus divers. Les films d'arts martiaux, notamment, seront encore programmés dans les quartiers blacks bien après la fin de la vogue du kung-fu, et Tarantino pourra ainsi continuer à s'en rassasier jusque vers la fin des années 70.

À dix-sept ans, Tarantino quitte le lycée pour suivre des cours de comédie qu'il finance grâce à de petits boulots. À vingt-deux ans, il se trouve un nouveau port d'attache : embauché comme vendeur aux Video Archives de Manhattan Beach, sa connaissance encyclopédique des vieux films peut enfin s'épanouir et il fait de cette boutique - avec ses collègues Roger Avary et Jerry Martinez - une véritable école de cinéma bis. C'est également à cette époque qu'il commence à écrire pour son cours de comédie.

Après avoir travaillé avec Avary et un groupe d'amis à un projet de long métrage à très petit budget, MY BEST FRIEND'S BIRTHDAY, Tarantino connaît plusieurs années frustrantes durant lesquelles il tente vainement de monter deux autres de ses scripts. En 1991, il écrit RESERVOIR DOGS, long métrage minimaliste richement dialogué, susceptible d'être filmé dans un seul décor. À l'époque, il pense en tirer un film en 16 mm ultra-cheap dont ses copains de Video Archives et lui-même tiendraient les rôles principaux.

Par chance, un jeune et ambitieux producteur, Lawrence Bender lit son script, en tombe amoureux et demande à Tarantino dattendre un mois pour essayer d'en faire un vrai film. Bender fait passer le scénario à Harvey Keitel qui s'enflamme pour le projet, rameute plusieurs autres excellents comédiens et permet au film de bénéficier d'un budget décent. Tourné en extérieurs à Los Angeles en moins d'un mois, RESERVOIR DOGS jouit d'un casting brillant : Harvey Keitel, Michael Madsen, Steve Buscemi, Tim Roth, Lawrence Tierney, Chris Penn et Tarantino lui-même. Il remporte un triomphe au Festival de Sundance et, bientôt, à travers le monde entier. Devenu soudain hot, Tarantino vend sans mal les deux scénarios écrits avant RESERVOIR DOGS : TRUE ROMANCE (que Tony Scott réalise en 1992) et TUEURS NÉS qu'Oliver Stone tourne en 1993 après l'avoir abondamment réécrit.

En 1994, Tarantino signe le jubilatoire PULP FICTION, un extravagant collage de styles où s'entrecroisent plusieurs histoires policières et une série de personnages hauts en couleur. Jeux virtuoses sur les codes du polar, le temps et l'espace, séquences musicales ébouriffantes, humour à l'emporte-pièce, envolées lyriques et bouffées de violence à couper le souffle... Le film remporte la Palme d'Or à Cannes, relance de façon spectaculaire la carrière de John Travolta, conforte le statut de Samuel L. Jackson - impayable en tueur philosophe - et inaugure la féconde collaboration de Tarantino avec celle qu'il appellera joliment "mon actrice" : Uma Thurman.

Après un hiatus de trois ans, Tarantino écrit et réalise en 1997 JACKIE BROWN d'après le roman policier d'Elmore Leonard "Rum Punch". Pam Grier, idole du cinéma d'action black des années 70 y remporte une double citation au Golden Globe et au Screen Actors Guild, tandis que son partenaire Robert Forster se voit cité à l'Oscar du meilleur second rôle masculin. Ce casting de rêve est complété par Samuel L. Jackson (également cité au Golden Globe), Robert De Niro, Bridget Fonda et Michael Keaton.

Tarantino, dont le but initial était de devenir acteur, continue de jouer dans ses films et ceux d'autres réalisateurs. Après avoir interprété Mr. Brown dans RESERVOIR DOGS et Jimmie Dimmick dans PULP FICTION, il joua un réalisateur dans le sketch "The Man From Hollywood" de FOUR ROOMS, puis le frère barge de George Clooney dans UNE NUIT EN ENFER de Robert Rodriguez. Il personnifia aussi le Destin dans le film de Jack Baren DESTINY TURNS ON THE RADIO (1995) et apparut brièvement dans GIRL 6 de Spike Lee (1996). Sur scène, il incarna durant quelques semaines face à Marisa Tomei le méchant dans la pièce à suspense de Frederick Knott Wait Until Dark.

Associé à Lawrence Bender à la tête de la société A Band Apart, Tarantino a exercé les fonctions de producteur exécutif sur KILLING ZOE de Roger Avary. Il a également "présenté", sous la bannière Miramax, le film d'arts martiaux de Yuen Wo-Ping IRON MONKEY et assuré la production exécutive de la comédie grinçante de Reb Braddock CURDLED (1996) et du film de concert de Julia Sweeney GOD SAID "HA"! (1999). Au cours des quatre dernières années, Quentin Tarantino a aussi travaillé au script d'une épopée guerrière : INGLORIOUS BASTARDS, qui figure parmi les projets Miramax de l'année 2004.
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#Posté le samedi 08 janvier 2005 11:44

Modifié le mardi 05 juillet 2005 09:26

Pulp fiction

Date de sortie : 26 Octobre 1994

Réalisé par Quentin Tarantino

Avec John Travolta, Samuel L. Jackson, Uma Thurman

Film américain.

Genre : Policier

Durée : 2h 29min.

Année de production : 1994

Interdit aux moins de 12 ans

Synopsis:
L'odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats dans la jungle de Hollywood à travers trois histoires qui s'entremêlent.

Secrets de tournage:

Ecrit pour Tim Roth et Amanda Plummer
La partie de Pulp Fiction intitulée "Honey Bunny" et "Pumpkin" a été spécialement écrite pour les acteurs Amanda Plummer et Tim Roth.

La génèse du projet
Quentin Tarantino avait écrit deux des trois histoires qui composent le film, bien avant avoir rédigé les scripts de Reservoir Dogs, son premier film et True romance, mis en scène par Tony Scott. C'est suite aux succès rencontés par ces deux films qu'il à écrit le troisième volet de Pulp Fiction. Initiallement, le projet devait être réalisé par trois réalisateurs différents.

Une Palme pour Pulp
Pulp Fiction a obtenu la Palme d'or du Festival de Cannes 1994.

Ce que j'en pense:

Quand j'ai regardé Pulp Fiction pour la première fois, c'était le premier Tarantino que je voyais, et dès que j'ai vu le film, je l'ai rembobiné et directement ! Et je l'ai regardé au moins 5 fois dans la semaine ! Depuis je l'ai acheté en DVD, et je me suis empressé de voir ces autres films pour devenir un fan inconditionnel de Quentin Tarantino, cinéaste et cinéphile plus qu'accompli ! Pulp Fiction c'est une bombe, c'est de l'art, c'est du cinéma à l'état pur. C'est un scénario parfait, des acteurs sublimes et trois histoires qui s'emboîtent à merveille. Un film à voir et à revoir sans cesse ! Sans doute le meilleur Tarantino avec Kill Bill.


Elle(Cris)Realisateur prodige en quete de gloire et de reconnaissance internationale, Quentin Tarantino deja remarqué pur son premier film "Reservoir Dogs", devient en signant "Pulp Fiction" un vertiable phenomene du cinema americain actuel!!Cocktail d'humour (souvent noir mais décapant), d'elegance et d'ambiance groove, ce film inclassable a su trouver son public et reunit des acteurs aujourd'hui consacrés : Samuel L.Jackson et John Travolta, impeccables en mafieux drogués et puerils, Uma Thurman aspirante actrice toxico mariee au caïd local, Bruce Willis qui campe ici un boxeur contraint à l'abandon de sa carriere quoique.., Amanda Plummer, Christopher Walken et Rosanna Arquette!!! Bref, de tres tres bons acteurs choisis pour animer des discussions aux abords futiles mais qui instaurent justement une si grande proximité avec le spectateur, nullement choqué de voir deux types en costume debattre de la qualité d'un hamburger avant d'executer un homme en lui recitant un extrait de la Bible!!!Decrit ainsi, le film peut paraitre loufoque, insensé et plein d'une violence gratuite, injustifiee!!Il est au contraire singulier et tire son pouvoir de la grande fragilité qu'il confere à ses protagonistes, pourtant tous "peu fréquentables" à premiere vue : Uma Thurman, ici Mia Wallace, meriterait presque d'etre qualifiee de bouleversante dans son role d'epouse delaissée et ne jurant que par la cocaïne pour se procurer assurance et mine enjouee de femme fatale!! Meme le dealer de John Travolta arriverait pour un peu à inspirer la sympathie (et voire pour d'autres personnages dont la magie du role serait brisée si elle etait devoilée, la compassion) par son attitude d'homme conciliant et facile à vivre!! En resumé, un film noir et qu'on peut donc juger hermetique, mais où toute allusion a un sens, qui n'etale jamais une sphere de la scoieté que beaucoup souhaiteraient oublier par simple volonté de provocation, mais pour changer le regard que l'on lui porte!!!

N'oublions pas non plus ,sacrilége lol,Harvey Keitel que j'adore ,Ving Rhames que j'adore aussi alias Marsellus Wallace,Tim Roth que j'adore egalement ^^,Steve Buscemi,et surtout elle que j'aime Maria de Medeiros alias Fabienne(voir citation dans ma signature),Eric Stoltz alias Lance(il me fait rire avec son peignoir vert^^), Quentin Tarantino en personne alias Jimmie Dimmick,et n'oublions pas surtout LA CRAMPE mdrrrrr!!!!

Cristaline
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#Posté le dimanche 09 janvier 2005 06:16

Modifié le jeudi 24 mai 2007 09:07

John Travolta

John Travolta est né le 18 février 1954 à Englewood dans le New-Jersey d'un père d'origine italienne et d'une mère d'origine irlandaise.

Travolta vit dans un contexte favorable à sa carrière de comédiens puisqu'il est élevé parmi des acteurs. C'est ainsi qu'à l'âge de 16 ans (nous sommes en 1970), il abandonne ses études pour se lancer dans la comédie musicale.

Il commence alors par prendre des cours de claquettes avec Fred Kelly (le frère du grand Gene Kelly) et se produit donc dans des spectacles de comédies musicales à Broadway dont Grease (qui fera son succès plus tard au cinéma).

En 1975, il obtient un rôle dans la série Welcome Back, Kotter. Le rôle d'un lycéen un peu rebelle avec les cheveux dans le vent qui lui collera à la peau et qu'il réexploitera dans le chef d'œuvre de Brian De Palma, Carrie, en 1976.

Mais on ne peut pas vraiment dire que ce soit ce film qui soit à l'origine de son succès. Non, le succès viendra plus tard avec deux comédies musicales qui vont laisser une trace indélébile : La fièvre du samedi soir (1977 et pour lequel il sera d'ailleurs nominé aux Oscar) et Grease (1978). Grâce à ses deux films, John Travolta est sous les feux des projecteurs, les deux films éteignent le statut de films cultes, surtout en ce qui concerne Grease car bon nombre des chansons de films sont aujourd'hui des tubes qui n'ont pas pris une ride. Et le couple Travolta/Newton-John est inoubliable.

Malheureusement, la fin des années 80 marque la fin du disco et le début d'une chute vertigineuse pour le jeune Travolta. Considéré comme un acteur « bankable », il enchaîne les échecs avec un rythme déconcertant. On gardera toutefois en mémoire son rôle dans l'excellent Blow-out de Brian De Palma (remake de Blow-up de Michelangelo Antonioni)

Il renoue avec le succès au box-office (et non dans la qualité) avec la comédie Allô maman ici bébé (1990). Mais là encore, Travolta s'embourbe tourne des suites inutiles : Allô maman c'est encore moi (1991) et Allô maman c'est Noël (1993).

La renaissance va donc venir pour Travolta grâce à Quentin Tarantino et l'immensément culte Pulp Fiction qui sort en 1994. Tarantino a toujours eu un don pour donner aux acteurs le rôle de leur carrière ou tout du moins un rôle mémorable. Ce fut le cas pour John Travolta qui fut nominé aux Oscar pour son rôle de Vincent Vega, petit truand à qui il arrive mille misères. Pulp fiction sera auréolé d'une Palme d'Or (très controversée) et permettra de relancer la carrière de Travolta qui quitte le monde des comédies et comédies musicales pour rentrer dans celui des films d'action.

Il est alors l'un des acteurs les plus demandés et les mieux payés. Et il se trouve désormais abonné soit aux rôles de héros soit au rôle de gros salaud (il fera les deux dans Volte face de John Woo en 1997). Il tourne donc dans Broken Arrow de John Woo et Get Shorty de Barry Sonnefield tout deux sortis en 1996.

On se souviendra également de Mad City de Costa-Gavras en 1998, de La ligne rouge de Terrence Mallick en 1999, du Déshonneur d'Elizabeth Campbell la même année et d'autres films moins glorieux tels que The Punisher et Piège de feu dernièrement.

On a pu le voir cette année à l'écran aux côtés de Scarlett Johansson dans Love Song.

John Travolta est aussi pilote et possède un Boeing 747 et un Jet Guflstream avec lesquels il fait le tour du monde.

Travolta n'a jamais été un grand acteur, un acteur hors-norme ou autre. C'est un acteur qui se fond dans le système hollywoodien, il possède un certain potentiel et surtout un charisme qui lui permet de gagner son pain. Il est à parier qu'il se laisse également trop enfermer dans des cases et que, si il le voulait, il pourrait avoir une bien meilleure filmographie.
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#Posté le dimanche 09 janvier 2005 12:25

Modifié le jeudi 06 septembre 2007 10:24

Al Pacino

Fils de Salvator Pacino tailleur de pierre et Rose Gerard sans profession, tous les deux originaires de la Sicile. Elevé par ses grands-parents maternels James et Kate Gerard.

Alfred James Pacino collectionne depuis ses débuts les nominations aux Oscars, mais c'est seulement en 1992 qu'il obtient sa première statuette pour Le Temps d'un week-end (adaptation du roman Parfum de femme de Giovanni Arpino). Trente ans plus tôt, il connaissait sa première nomination pour son interprétation de Michael Corleone dans Le Parrain de Francis Ford Coppola.

L'acteur passe son enfance dans le Bronx. Envahi par la passion de la comédie, il entre à l'âge de quatorze ans à la High School of Performing Arts de Manhattan, mais, sans diplôme, ni bagages culturels, il se retrouve en difficulté face aux méthodes utilisées. A seize ans, il décide de tout arrêter et passe deux ans à multiplier les petits boulots, pour revenir ensuite à sa vocation première.

Après avoir échoué à l'entrée de l'Actors Studio, il poursuit sa formation d'acteur aux cours d'Herbert Berghof et a pour professeur Charles Laughton, qui deviendra un de ses pères spirituels.

Il obtient son premier rôle principal avec la pièce de William Saroyan Hello, Out There et reçoit un Obie (équivalent des Oscars pour le théâtre) pour son interprétation dans The Indian Wants the Bronx. Les rôles au théâtre se succèdent, provocant louanges et critiques, et couronnés de plusieurs prix.

En 1966, il est enfin admis à l'Actors Studio, il y rencontre Dustin Hoffman et Robert De Niro, la nouvelle génération d'acteurs formée selon "la méthode "qui occuperont le devant de la scène durant les années 70 jusqu'au milieu des années 80. Il y fait également la connaissance de Lee Strasberg qui deviendra son nouveau mentor.

Quand on le découvre en 1969 dans son premier film Me, Natalie, Al Pacino a déjà une jolie carrière théâtrale derrière lui, mais c'est Panique à Needle Park qui va réellement le révéler et trois ans plus tard c'est la consécration : Le Parrain lui ouvre les portes de la gloire, il a trente-deux ans.

S'enchaînent ensuite plusieurs films et plusieurs citations aux Oscars, dont Le Parrain, 2ème partie, c'est sa première rencontre à l'écran avec De Niro, qu'il retrouvera dans Heat dix ans plus tard. Suite à ses interprétations cinématographiques de 1974, il est déclaré meilleur acteur de l'année par La British Academy.

Il connaît par la suite une longue traversée du désert, refuse plusieurs rôles phares : Apocalypse Now, Les Moissons du ciel et Kramer contre Kramer. Il fait de mauvais choix et doit faire face en 1985 à un échec cuisant avec Revolution, son premier film en costume.
Le cinéma est alors volontairement délaissé au profit du théâtre, sa passion et première vocation. En 1996 il réalise et produit son premier long métrage (il a co-réalisé The Local Stigmatic en 1990 un film de 56 minutes) : Looking for Richard, un essai sur la mise en scène de la pièce de Shakespeare Richard III (pièce qu'il avait entre autre déjà joué en 1973 à Boston). Mi documentaire, mi adaptation c'est sans doute, le film qui permet le mieux de comprendre l'acteur et d'apprécier son interprétation subtile et riche en nuances qui a fait sa renommé.

Son retour cinématographique a réellement été marqué avec Mélodie pour un meurtre en 1989. Quatre ans plus tard, il retrouve Brian De Palma avec qui il avait déjà signé Scarface pour L' Impasse. Le comédien saura jouer avec son image et varier les rôles, de Dick Tracy, Frankie & Johnny jusqu'au troisième opus du Parrain qui le fait entrer dans la légende. En 2002, il tourne avec deux jeunes cinéastes remarqués. Il est le réalisateur en crise de Simone, une star est... créée d'Andrew Niccol et le policier désabusé d'Insomnia de Christopher Nolan.

Reconnu aujourd'hui pour son fabuleux don de faire oublier l'acteur caché derrière un personnage, Al Pacino, tend à présent à multiplier les casquettes comme dans Chinese coffee (adapté de la pièce de théâtre) où il est réalisateur et interprète.
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#Posté le jeudi 13 janvier 2005 14:17

Modifié le samedi 03 décembre 2005 08:06

Marlon Brando

J'ai découvert Marlon Brando avec Apocalypse Now de Francis Ford Coppola, le film j'ai eut du mal à accrocher, mais déjà Brando m'avait attiré ! Et puis j'ai vu Le Parrain du même Francis Ford Coppola, ce film a fait l'effet d'une bombe en moi, et j'ai été frappé de plein fouet par le jeux extraordinaire de Marlon Brando, avec sa gueule, sa voix, ses gestes et mouvements ! La photo qui est là est une de mes préfèré, observez là bien, regardez bien son visage ! Au départ Coppola pensait à Brando pour le rôle de Don Carleone, mais les producteurs n'en voulait pas car il était réputé pour un acteur execrable sur les plateaux, et plus personne de voulait de lui. Coppola a filmé en secret quelque séquences avec Brando qui pour l'occation s'était mis du sopalin dans la mâchoire inférieure. Résultat, les producteurs sont tombés sous le charme et Brando fut engagé. Il est aujourd'hui mort (le 1 juillet 2004) et je lui transmet tout mon respect et toute ma gratitude !

Biographie:

A la suite de son renvoi d'une école militaire, il intègre l'Actor Studio de New York. Sous la direction de Lee Strasberg, il développe ses talents d'acteur et devient un inconditionnel de la méthode de Konstantin Stanislavsky. Au départ, il joue énormément au théâtre mais refuse les propositions des studios hollywoodiens. En 1950, il interpréte un infirme de guerre dans C'étaient des hommes. Signe de son perfectionnisme, il passe de nombreux mois dans un hôpital militaire pour rendre son interprétation convaincante.

L'adaptation pour le cinéma d'Un tramway nommé désir (1951) par Elia Kazan lance sa carrière. Deux ans plus tard, il retrouve le réalisateur pour les besoins de Viva Zapata !. Ce cinéaste lui offre certains de ses meilleurs rôles comme dans Sur les quais (1954), drame pour lequel il remporte un Oscar. Son personnage dans L'Equipée sauvage (1953) fait de lui l'icône de toute une génération. Il s'illustre dans différents registres comme le péplum avec Jules César (1953) ou la comédie musicale avec Blanches colombes et vilains messieurs (1955), tous deux orchestrés par Joseph L. Mankiewicz. Son jeu et son charisme impressionnent les professionnels et le public.

A partir des années 60, Marlon Brando s'aventure dans des projets de plus en plus risqués. Il s'essaie à la réalisation avec La Vengeance aux deux visages (1961) qui se solde par un véritable échec commercial. Il enchaîne avec le tournage des Révoltés du Bounty (1961) qui connaît de nombreuses difficultés. Les sujets trop hardis de ses longs métrages comme La Poursuite impitoyable (1967) et Reflets dans un oeil d'or (1967), qui traite de l'homosexualité, inquiètent les financiers. Mais, c'est surtout son caractère insupportable, dont il fait preuve sur les tournages de Queimada (1971) et du Corrupteur (id.), qui le met à l'écart des plateaux.

En 1972, alors qu'il est devenu persona non grata, Francis F. Coppola, contre toute attente, lui offre le rôle de Vito Corleone dans Le Parrain, un personnage qui donnera un nouveau souffle à sa carrière. Marlon Brando ne s'est pas pour autant assagi. Il refuse l'Oscar pour ce rôle en signe de protestation contre le massacre des Indiens perpétré par l'Etat américain. Puis, il interprète le sulfureux Dernier tango à Paris (1975). Il exige alors des cachets exorbitants pour finalement jouer de petits rôles dans Superman (1978) et Apocalypse now (1979). Las des vicissitudes hollywoodiennes, il s'exile sur une île du Pacifique pendant dix ans.

A la fin des années 80, Marlon Brando vit une véritable tragédie avec le suicide de sa fille Cheyenne, consécutif au meurtre de son amant par son frère. Les dépenses liées aux procès de ces sombres histoires le poussent à retourner devant les caméras. Fini le temps des chefs-d'oeuvres, c'est un Brando obèse et fatigué qui fait son retour. Plus que jamais, il court le cachet comme avec Premiers pas dans la mafia (1989), L'Ile du docteur Moreau (1996) et The Score (2001), sa dernière apparition à l'écran. En cette fin de carrière, on retiendra tout de même ses remarquables prestations dans Une saison blanche et sèche (1989) et The Brave (1998), la première réalisation de Johnny Depp.
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#Posté le vendredi 14 janvier 2005 02:04

Modifié le jeudi 17 février 2005 14:28

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